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Les députés européens se retrouvent à Strasbourg en session plénière, du 11 au 14 septembre 2017.
Sont notamment au programme de cette session :
- le discours annuel sur l’état de l’Union du président de la Commission, Jean-Claude Juncker ;
- un vote sur l’établissement d’un modèle uniforme de titre de séjour pour les ressortissants de pays tiers : le modèle actuel est le fruit d’une action commune du Conseil adoptée en 1997. En 2009, les États membres ont considéré qu’au vu du degré croissant de sophistication des falsifications, il était nécessaire de s’atteler à un nouveau modèle de titre de séjour ;
- un vote sur l’adhésion de l’Union européenne à la convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique ;
- un vote sur la mobilisation du Fonds de solidarité de l’Union européenne pour venir en aide à l’Italie, d’un montant de 1.196.797.579 euros, à la suite d’une série de tremblements de terre qui ont eu lieu entre août 2016 et janvier 2017 dans les régions des Abruzzes, du Latium, des Marches et de l’Ombrie.
L’ordre du jour de la session plénière
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Lundi 23 octobre en fin d’après-midi, les députés terminent l’examen de la première partie du projet de loi de finances pour 2018 puis, mardi 24 octobre vers 17h00, l’Assemblée votera par scrutin public sur cette première partie. La discussion de la seconde partie débutera le 31 octobre et devrait se conclure par un vote solennel le mardi 21 novembre.
L’adoption définitive du projet de loi devra intervenir au plus tard le vendredi 22 décembre 2017, ce qui correspond à l’échéance du délai constitutionnel de soixante-dix jours, prévu par l’article 47 de la Constitution, qui court à compter du lendemain de la transmission de la lettre récapitulative des annexes.
Le mardi 24 octobre à 18h00, Les Républicains tiendront un bureau politique à huis clos, avec à l’ordre du jour notamment la décision concernant l’exclusion ou non de cinq responsables LR ralliés à Emmanuel Macron. Une procédure qui concerne le Premier ministre Édouard Philippe, les ministres Gérald Darmanin et Sébastien Lecornu, ainsi que les parlementaires Thierry Solère et Franck Riester qui ont créé le groupe Les Constructifs à l’Assemblée nationale. Par ailleurs, Bernard Accoyer, secrétaire général, propose d’allouer aux candidats à la présidence du parti une enveloppe pour faire campagne.
Mise à jour : LR exclut ce mardi soir ses membres transfuges, mais la décision du bureau politique reste à valider.
Mardi soir, l’exclusion des trois ministres et des deux parlementaires LR pro-Macron a bien été décidée par le bureau politique du parti. Mais pour l’heure, cette exclusion reste à l’état virtuel. Faute de quorum et pour éviter toute contestation, le bureau se réunira à nouveau mardi 31 octobre, afin de « valider juridiquement » sa décision. Sur les 115 membres, seul un tiers était en effet présent. Un nombre insuffisant pour que cette décision soit juridiquement valide. » C’est purement formel », a insisté Bernard Accoyer, le secrétaire général du parti. « Compte tenu des menaces de recours, nous prenons toutes nos précautions. »
Déclaration à l'issue du Bureau politique du 24 octobre 2017. #BPLR https://t.co/ZAOQ8MsFkz
— les Républicains (@lesRepublicains) October 24, 2017
Ce jeudi 26 octobre, la haute autorité des Républicains a dévoilé la liste des candidats officiellement en lice pour la présidence du parti. Cette publication sonnera le début de la campagne officielle qui sera clôturée, le vendredi 8 décembre. Le scrutin aura lieu les 10 et 17 décembre par voie électronique.
La haute autorité valide trois des quatre candidatures déposées : celle de Laurent Wauquiez, de Florence Portelli, ancienne porte-parole de François Fillon ainsi que celle du jeune juppéiste, Maël de Calan.
.@alevade : "Les candidats à la présidence de @lesRepublicains sont @MaeldeCalan, @laurentwauquiez et @FloPortelli" #ElectionLR2017 pic.twitter.com/I2MPSRwMSr
— les Républicains (@lesRepublicains) October 26, 2017
La candidature du député du Touquet, Daniel Fasquelle, a en revanche été écartée, en raison de l’insuffisance « du nombre de parrainages d’adhérents », a précisé la présidente de la Haute Autorité Anne Levade. Les candidats devaient réunir les signatures d’au moins 2.347 adhérents (1% du nombre total d’adhérents) et de 13 parlementaires LR (5% des députés nationaux, européens et sénateurs).
Mise à jour
Le bureau politique de LR a tourné ce mardi la page des transfuges pro Macron. L’aboutissement d’un feuilleton de plusieurs semaines. Le Premier ministre, les deux membres de son gouvernement Gérald Darmanin et Sébastien Lecornu, ainsi que les deux députés Les Constructifs Thierry Solère et Franck Riester ne font désormais donc plus partie des Républicains. Avec cette nuance que pour le locataire de Matignon, LR a pris acte de « son départ », tandis que les quatre autres, eux, se sont vus signifier leur exclusion du mouvement. Une décision dont s’est expliqué Bernard Accoyer, le secrétaire général de LR, dans un communiqué publié sur Twitter.
Communiqué de presse à l'issue du Bureau politique de ce jour #lesRépublicains pic.twitter.com/wKwYPltIwx
— Bernard Accoyer (@BernardAccoyer) October 31, 2017
Pour la troisième fois, mardi 31 octobre, le bureau politique du parti Les Républicains va tenter d’acter la rupture avec ses membres soutenant la politique la politique d’Emmanuel Macron. Une procédure qui concerne le Premier ministre Édouard Philippe, les ministres Gérald Darmanin et Sébastien Lecornu, ainsi que les parlementaires Thierry Solère et Franck Riester qui ont créé le groupe Les Constructifs à l’assemblée.
Bien qu’approuvée le 24 octobre dernier par le bureau politique tenue à huis clos par LR, l’exclusion de ces membres transfuges n’a en effet pu être validée, faute de quorum. Si cette décision a été entérinée par le bureau, l’article 24 des statuts du parti, qui fixe le quorum a bloqué sa validation.
Mais rassurez vous. Ce soir, il y a bureau politique des "républicains" ! https://t.co/RPDmPwbXmd
— Thierry SOLERE (@solere92) October 31, 2017
Cette fois, c’est « le dernier », a promis Laurent Wauquiez à Mandelieu-La Napoule (Alpes-Maritimes) dimanche. « Et ce foutoir généralisé dans lequel on est en ce moment, croyez-moi, si je m’occupe de la famille des Républicains, c’est fini, on va remettre de l’ordre!« , a poursuivi celui qui fait figure de favori à la présidence de LR.
Les statuts devraient lui donner raison. La règle veut que lorsque le quorum n’est pas atteint, un nouveau bureau politique se tient, un nouveau vote est mis en place, sans condition de participation. Interrogé ce mardi, Bernard Accoyer, le président du parti, minimise les enjeux du bureau du soir. Il sait que les freins sont levés pour le prononcé de la sanction. Celle-ci ne serait plus qu’une « décision de formalisme administratif« . A moins qu’un nouveau rebondissement ne surgisse.
"La décision a été prise à une large majorité la semaine dernière. Le BP prendra une simple mesure de formalisme juridique" @CNEWS pic.twitter.com/D0YRulxNqw
— Bernard Accoyer (@BernardAccoyer) October 31, 2017
Deux ans « jour pour jour » après les attaques de Paris et de Saint-Denis dans lesquelles 130 personnes ont été tuées, le président de la République, Emmanuel Macron, son prédécesseur, François Hollande, et la maire de Paris, Anne Hidalgo, ont rendu un hommage aux différentes victimes des attaques djihadistes du 13 novembre 2015. Des terrasses des 10e et 11e arrondissements de Paris au parvis du Stade-France en passant par le Bataclan, le chef de l’Etat s’est rendu sur chaque site touché par les attentats.
Des cérémonies placés sous le signe de la sobriété, comme l’ont souhaité les familles des victimes. Il n’y a eu ni prise de parole, ni discours officiels. Comme en 2016, leurs noms ont été énumérés, une gerbe déposée et une minute de silence observée. Le président de la République s’est déplacé d’abord à Saint-Denis, sur le parvis du Stade de France, avant de se rendre sur les terrasses du « Carillon », du Petit Cambodge », de « La bonne bière », du « Comptoir Voltaire » et de La « Belle Équipe ». Il a rejoint en fin de matinée la salle de concert du Bataclan où 90 personnes ont perdu la vie.
Les hommages sur les sites parisiens des attentats
2 ans après, #Paris se souvient.#13Novembre #FluctuatNecMergitur#ParisSeSouvient pic.twitter.com/MBxFsk1EhA
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) November 13, 2017
2 ans après, #Paris se souvient.#13Novembre #FluctuatNecMergitur#ParisSeSouvient pic.twitter.com/tuAP8AG5u4
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) November 13, 2017
2 ans après, #Paris se souvient.#13Novembre #FluctuatNecMergitur#ParisSeSouvient pic.twitter.com/eEG3x7aq6N
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) November 13, 2017
2 ans après, #Paris se souvient.#13Novembre #FluctuatNecMergitur#ParisSeSouvient pic.twitter.com/laKth4AfZ4
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) November 13, 2017
Hommage au Stade de France
Stade de France, Seine-Saint-Denis.
2 ans après, #Paris se souvient.#13Novembre #FluctuatNecMergitur#ParisSeSouvient pic.twitter.com/mZqF94uD42— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) November 13, 2017
L'hommage de l'association de victimes "Life for Paris"
Après ces hommages officiels, le président Emmanuel Macron, son prédécesseur François Hollande et la maire de Paris Anne Hidalgo ont assisté assistent à l’hommage organisé devant la mairie du 11e par l’association de victimes Life for Paris.
#13Novembre : après les hommages officiels, #Macron, François Hollande et la maire de Paris @Anne_Hidalgo assistent à l'hommage organisé devant la mairie du 11e par l'association de victimes @lifeforparis pic.twitter.com/2947vdbcEG
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) November 13, 2017
Un lâcher de ballons clôt la cérémonie
Lâcher de ballons devant la mairie du 11e arrondissement #13Novembre pic.twitter.com/7LzEVze1pb
— Romain Houg (@Romhoug) November 13, 2017
Deux des membres d'Eagles of Death Metal, le groupe jouant au Bataclan le soir de l'attaque, ont tenu à monter sur scène en hommage aux victimes. #13Novembre pic.twitter.com/eY9LIOxsak
— Romain Houg (@Romhoug) November 13, 2017
Heroes de David Bowie en hommage aux 130 victimes
Heroes de David Bowie, en hommage aux 130 victimes des attentats du #13Novembre pic.twitter.com/hDbKzZo1Fx
— Romain Houg (@Romhoug) November 13, 2017
Le président de Life for Paris, Arthur Dénouveaux, prend la parole sur le parvis de la mairie du 11e
Le president de l'association Life for Paris prend la parole : "Se souvenir ce n'est pas ressasser, mais au contraire avancer" #13Novembre
— Romain Houg (@Romhoug) November 13, 2017
Retrouvez l'intégralité du discours du Président de @lifeforparis Arthur Dénouveaux devant la @Mairiedu11. #13Novembre pic.twitter.com/71RsaoVbqA
— Life for Paris (@lifeforparis) November 13, 2017
L’hommage aux victimes commence par une introduction musicale
L'hommage aux victimes débute en présence d'Emmanuel Macron et de François Hollande, le morceau Hallelujah de Léonard Cohen est joué au piano. #13Novembre pic.twitter.com/XSoMlpX9YF
— Romain Houg (@Romhoug) November 13, 2017
Jeudi 16 novembre 2017, la CGT, FO, Solidaires, la FSU et certaines organisations universitaires (UNL, Unef, Fidl) appellent salariés et étudiants à manifester contre les ordonnances de réforme du Code du travail, en passe d’être ratifiées par le Parlement. La CFDT et la CFE-CGC n’ont pas rejoint l’appel. Force Ouvrière sera cette fois officiellement de la partie, mais son leader ne battra pas le pavé avec le numéro 1 de la CGT. Philippe Martinez sera à Paris, tandis que Jean-Claude Mailly sera à Marseille. Dans l’éducation nationale, le syndicat Sud a appelé ses adhérents à manifester et à faire grève. Un préavis spécifique aux cheminots a enfin aussi été déposé à la SNCF. Le mouvement de grève devrait provoquer quelques perturbations sur le trafic des TER et des Intercités (3 trains sur 5). Rien à signaler en revanche pour les TGV et les trains internationaux.
JC Mailly : « Dans l'action le 16 novembre, par des manifestations et des grèves » https://t.co/mh2c5cclJD
— Force Ouvrière (@force_ouvriere) November 15, 2017
Des manifestations sont prévus un peu partout en France. A Paris, le cortège partira depuis la place de la République à 14 heures en direction de la place de la Nation. A Lyon, les manifestants ont rendez-vous à 11h30 place Béraudier. A Marseille, le cortège s’élancera à 10h30 depuis le Vieux-Port en direction de la place Castellane.
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L’ancien candidat socialiste à la présidentielle, Benoit Hamon, sera au palais des congrès du Mans, le samedi 2 décembre pour une nouvelle étape dans la fondation de son Mouvement du 1er juillet (M1717). Elle sera « le moment fondateur du mouvement » indique l’eurodéputé, Guillaume Balas, qui a quitté définitivement le PS pour pour se consacrer à M1717. « Nous allons choisir notre charte, poser les grands éléments d’orientation et adopter le nouveau nom du mouvement », poursuit-il. Une consultation, qui a pris fin le 20 novembre, a pour cela été ouverte, avec 44 questions à la clé sur les grands thèmes abordés et la stratégie à adopter.
Le programme
10h30 : session plénière : État des lieux du Mouvement. – Résultat du questionnaire lancé en ligne au mois d’octobre, portant sur le fond, l’organisation interne et le positionnement de la nouvelle formation politique.
Discours de Benoît Hamon
14h00 : Ateliers –
Présentation, débats et vote de la charte.
Point presse de Benoît Hamon.
Vous cherchez un #covoiturage ou un car pour venir à l'événement de fondations du #M1717 le 2 décembre au Mans ? Vous avez des places libres dans votre véhicule ? Rendez-vous sur la carte interactive 😕 https://t.co/1loVTWTvBM pic.twitter.com/PGSIiXWZWh
— Mouvement1717 (@Mvt1717) November 26, 2017