Le gouvernement Barnier confrontée à une première motion de censure

Le premier ministre, Michel Barnier fait face ce mardi à une motion de censure déposée par l’ensemble des composantes de la gauche réunies au sein du Nouveau Front Populaire (NFP). Première d’une probable longue série, cette motion défendue par le le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, devrait échouer.

Une semaine après sa déclaration de politique générale, le premier ministre, Michel Barnier, fait face ce mardi à sa première motion de censure. Le texte déposé vendredi 4 octobre, est cosigné par 192 députés du NFP, issus des groupes Socialistes et apparentés, La France insoumise, Ecologiste et social, ainsi que Gauche démocrate et républicaine. C’est Olivier Faure, patron du PS, qui défendra ce texte dont les chances de réussite sont quasiment nulles. Le vote aura lieu le même jour à 17 heures.Lire la suite

Gouvernement Barnier : dépôt d’une motion de censure par le NFP

Les députés du Nouveau Front Populaire déposeront leur première motion de censure contre le gouvernement de Michel Barnier quelques jours après la déclaration de politique générale que le Premier ministre prononcera mardi 1er octobre, à la tribune de l’Assemblée nationale.

Les présidents des groupes politiques du Nouveau Front Populaire (NFP) ont décidé jeudi 26 septembre, que leur motion de censure contre le gouvernement Barnier sera déposée en fin de semaine, “probablement“  jeudi ou vendredi, selon une source parlementaire confirmant une information de la chaîne parlementaire LCP. Les chefs des quatre groupes politiques de l’alliance de gauche à l’Assemblée nationale, insoumis, socialiste, écologiste et social et GDR (communistes et ultramarins),  se sont également entendus pour que la motion de censure soit défendue par un membre du groupe socialiste.Lire la suite

Destitution de Macron : la proposition de résolution examinée en commission des lois

Jugée recevable, le 17 septembre dernier par le bureau de l’Assemblée nationale, la procédure de destitution du président Macron, portée par la France insoumise, est examinée ce mercredi 2 octobre par la commission des lois du Palais Bourbon, avant d’être débattue en séance publique. Elle n’a toutefois aucune chance d’être adoptée.

La commission des lois de l’Assemblée rejette massivement la proposition de destitution d’Emmanuel Macron

MISE A JOUR : 02.10.2024- 12h30

Les 69 votants de la commission des lois ont massivement rejeté la proposition de destitution d’Emmanuel Macron (15 pour et 54 contre), formulée par La France insoumise qui reproche au chef de l’Etat de n’avoir pas respecté le résultat des législatives. Il revient à la conférence des présidents de groupes politiques de décider dans les treize jours si le texte doit accéder à l’étape suivante, c’est-à-dire un examen dans l’hémicycle. Cette proposition a peu de chances d’être adoptée en définitive, puisqu’elle doit pour cela être approuvée par les deux tiers des parlementaires, députés et sénateurs réunis.

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Réforme des retraites : un appel à la grève le 1er octobre lancé par les syndicats

Plusieurs organisations syndicales, dont la CGT, la FSU et Solidaires, appelent à la grève mardi 1er octobre. L’objectif principal : inciter le nouveau gouvernement à annuler la réforme des retraites.

L’annonce avait été faite le 23 septembre dernier par la secrétaire générale de la CGT, alors que le Premier ministre, Michel Barnier, avait la veille ouvert la porte à une consultation des partenaires sociaux, sur la réforme des retraites promulguée en 2023. “C’est le match retour contre la réforme des retraites. Nous pouvons obtenir son abrogation, c’est ce que montre la déclaration de Michel Barnier. Le rapport de force est de notre côté. Il faut pousser notre avantage“, avait martelé Sophie Binet, avant de lancer un appel à une journée de grève et de manifestations, le mardi 1er octobre.Lire la suite